TRADUCTION

francaise

Espagnol

LIVRE

Sananda

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 Introduction, Avant Propos, chapitres,

1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, Conclusion, Annexe, Annexe 1, Annexe 2, Annexe 3

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11 janvier 2006. Chapitre 4

De la perte des êtres chers

  

J’aimerais vous entretenir maintenant d’un sujet qui me tient à cœur tout particulièrement. Il s’agit de la perte des êtres qui vous ont étés si chers.

Tout d’abord, entendez par êtres chers, ces personnes qui font partie de votre famille, comme vous le dites : ces êtres qui ont partagé avec vous ces moments intenses en joie et en peine, ces êtres qui savent de vous ce que vous-même parfois ne soupçonnez pas.

Ces personnes là, un jour où l’autre, sont amenées à vous quitter, que ce soit de leur mort physique, ou que ce soit de leur volonté délibérée de vous laisser sur votre chemin, là où vous en êtes de votre évolution.

Quelle perte, allez-vous me dire, quelle tristesse aussi, et quel manque dans votre cœur !
J’entends vos peines et vos révoltes, de ne plus être en relation avec ces personnes qui vous ont suivis et parfois soutenus depuis si longtemps.

Je voudrais vous faire comprendre ce soir ce que j’entends par perte d’êtres chers.
Voyez par là, par delà ces mots qui vous emprisonnent souvent, cette faculté que ces personnes ont de vous « laisser » vivre votre vie à vous, sans plus avoir le recours de demander leur avis, leur soutien aussi.

Vous voici livrés à vous-même dans le cadre de vos décisions, de vos doutes aussi.
Pourquoi, me direz vous, se sentir tout d’un coup démuni de ces soutiens et de ces aides qui vous étaient si précieuses ?
Je vous dirais que je pense par là vous faire entrevoir que chacun est UN à part entière, et que s’en remettre à ces êtres chers afin de mener sa vie, n’est que pure faiblesse.
SOYEZ, et allez dans votre voix qui vous est propre.
Ces êtres chers vous ont assistés le temps qu’il leur a été donné de le faire.
Eux aussi, ont leur vie à poursuivre, qu’elle soit matérielle ou purement éthérée.
Rien n’est plus grand que de grandir seul quand on a l’assurance d’avoir été aimé.
Faites maintenant cette expérience de LA VIE, et soyez qui vous êtes, purs et nus de l’influence des autres, ceux que vous aimiez tant.
Cette nudité sera désormais votre vêtement dans la Lumière, et que votre âme ne se trouble point de la fermeté de mes paroles.
Je voulais en venir à vous dire que nul n’est indispensable à votre vie, comme vous n’êtes aussi indispensable à personne.
Ne laissez jamais ces sortes de chantages affectifs vous troubler, où que vous soyez.

Je vous vois penser que je suis d’une dureté que vous ne me connaissiez pas.
Je suis en train de vous faire grandir, au rang des êtres illuminés et forts de leur lumière propre ! Encore une fois, entendez mes paroles telles que je vous les donne.

Ne déformez pas ce langage qui est toujours celui de mon cœur, et ne voyez surtout pas dans ces termes une quelconque volonté de vous entraîner vers ces méandres de l’isolement, ni de la sècheresse de votre cœur.

Vous aurez peut-être moins de personnes à aimer, mais vous serez alors à même d’Aimer, de dispenser autour de vous ce que je vous aurai enseigné, c'est-à-dire la force et le courage dans ce monde que vous serez seul à décider vis à vis de vous-même, et seulement de vous.

Point d’égoïsme non plus dans mes paroles, il ne s’agit pas de ce sentiment vil et bas.
Il s’agit pour vous de vous renforcer au point de vous sentir cet être unifié et droit. Ce chêne que plus aucune tempête ne saura ébranler à l’avenir.

Je vous laisse penser à tout ceci.
Soyez assurés de mon aide, et de mon amour.
Je vous remercie.

Sananda.

 

 

 

 
 

De la perdida de los seres caros

 

Quisiera ahora conversaros de un sujeto que me llega particularmente al corazón. Trata de la perdida de los seres que os fueron tan caros.

 

Primero, entended con seres caros, estas personas que hacen parte de vuestra familia, como lo decís : estos seres que compartieron con vosotros estos momentos intensos con alegría y pena, estos seres que saben de vosotros lo que vosotros mismo a veces no sospecháis.

 

Esas personas, un día u otro, están acareados en dejaros, que sea con su muerte física, o que sea con su voluntad deliberada en dejaros en vuestro camino, ahí donde están en vuestra evolución.

 

¡ Qué perdida, vais a decirme, qué tristeza también, y qué  ausencia en vuestro corazón !

Oigo vuestras penas y vuestras revueltas, de no estar en relación con estas personas que os siguieron y a veces os sosténieron desde tanto tiempo.

 

Quisiera que entendáis esta noche lo que entiendo yo por perdida de seres caros.

 Veis aquí, tras estas palabras que suele encarcelaros, esta facultad que estas personas han de “dejaros” vivir vuestra propia vida, sin tener el recurso de pedir su aviso, su apoyo también.

 

Ahora estáis librados a vuestros mismo en cuanto a vuestras decisiones, de vuestras dudas también.

¿ Porqué, me diréis, sentirse de un momento a otro desprovisto de estos apoyos et de estas ayudas que os estaban tan preciosos ?

Os diría que pienso aquí os hacer ver que cada uno es Un ser a parte entera, y volver a poner su vida entre las monas de estos seres caras, es pura debilidad.

SED, e id en vuestro camino que os está propio.

Estos seres os han asistidos el tiempo que se lo han dado de hacer.

Ellos también, tienen su propia vida que seguir, que sea material o puramente etérea.

Nada está más grande que crecer solo cuando tenemos el seguro que nos han querido.

Haced ahora esta experiencia de LA VIDA, y sed él que sois, puros y desnudos de la influencia de los otros, los que amabais tanto.

Esta desnudez será a partir de ahora vuestro vestido en la Luz, y que vuestra alma no se perturbe con la dureza de mis palabras.

Querría llegar en deciros que nadie esté indispensable en vuestra vida, como vosotros no estáis indispensable a nadie.

No dejad nunca estos tipos de chantaje afectivos perturbaros, donde estad.

 

Os veo pensar que soy de una dureza que no conozcáis.

¡ Os estoy haciendo crecer, al rango de seres iluminados et potentes de su propia luz ! Una vez más, oíd mis palabras tal y como os las doy.

 

No deformad este lenguaje que siempre es él de mi corazón, y sobre todo no ved en estos términos malquiera voluntad de arrastraros hacia estos entresijos del aislamiento, ni de la sequedad de vuestro corazón.

 

Quizás tendréis menos personas que querer, pero seréis entonces capaz de Querer, de dispensar a vuestro rededor lo que os enseñé, es decir la potencia y el ánimo en este mundo que seréis solos en decidir en frente a  vosotros mismos, y solamente de vosotros.

 

No egoísmo tampoco en mis palabras, no se trata de este sentimiento vil y bajo.

Se trata para vosotros de reforzaros hasta sentir este ser unificado et recto. Este roble que ninguna tempestad será estremecer de ahora en adelante.

 

Os dejo pensar en todo eso.

Sed seguros de mi ayuda y de mi corazón.

Os agradezco.

 

Sananda.

 

 

 

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